Schroeder & Associés propose un outil d'aide à la décision
Atouts : réflexion globale, analyse, capacité d’innovation, solutions pragmatiques, mesure objective des opportunités et des risques, mise en place réfléchie et coordonnée…
Moyens : un réseau d’experts pour piloter des projets concrets et efficaces.
La volonté politique communale s’exprime au travers de projets orientés vers les citoyens et leur qualité de vie, présente et future. Souvent, les projets communaux sont liés à une demande locale pour un besoin déjà présent – par exemple des infrastructures sportives qu’il faut mettre aux normes ou/et moderniser -, ou encore à des besoins prévisibles à moyenne échéance – par exemple des infrastructures scolaires et d’accueil dans le cadre d’une démographie en hausse ou/et d’une offre de logement en préparation.
Mais en fait, tout cela est lié. Car pour bien se développer, dans tous les sens du terme – l’urbanisme, le logement, la mobilité, l’emploi, le commerce, les loisirs, … - un territoire a besoin de programmation, d’une planification stratégique, pour que les élus puissent accomplir les missions fondamentales de leur mandat et surtout pour que ce développement soit harmonieux, intégré, coordonné, priorisé, adapté aux besoins réels et à la qualité de vie de la population ; cette qualité répond aux critères du bien-vivre ensemble et ce développement doit bénéficier d’une vision à long terme.
Schroeder & Associés a constitué une unité dédiée au pilotage de projets pour le développement communal en vue d’assister les communes et villes
«En tant que bureau d’études disposant d’un large panel de spécialisations, nous pouvons fournir concrètement aux autorités des outils d’aide à la décision.
Nous proposons des prestations pluridisciplinaires au service d’une vision proactive à 360°, qui peuvent accompagner les visions politiques et, sur des bases objectives et analytiques, matérialiser les idées dans des bâtiments fonctionnels et des infrastructures adaptées, des concepts réfléchis, des aménagements cohérents, le tout coordonné et planifié en lien avec les engagements des responsables communaux mais aussi en phase avec les besoins des utilisateurs-citoyens et avec les défis actuels», souligne Anni Berg, cadre-dirigeant chez Schroeder & Associés, au PM - programmation et développement de projet.
Au service des projets et de la qualité de vie
Avec cette approche intégrée au service du maître d’ouvrage et une unité dédiée qui s’étoffe, le bureau Schroeder propose aux communes de valider cette valeur ajoutée dans l’aménagement du territoire au sens large, en plaçant le facteur humain et la qualité de vie au centre des projets.
« L’idée est aussi d’éviter ce que l’on constate encore parfois, en l’occurrence que des projets sortent un peu « plic-ploc », pour résoudre des problèmes ponctuels qui se posent à un endroit donné ou/et dans une certaine urgence. Or si la planification est fragmentée, on peut passer à côté de soucis se posant par ailleurs ou qui se poseront en conséquence. Par exemple, il est clair que la création d’un nouveau lotissement peut avoir un impact sur le trafic, sur l’environnement, sur le lien social… Idem pour une zone d’activités économiques ou commerciales. C’est un peu comme pour un tableau : si on regarde chaque trait ou chaque point à la loupe dans tel ou tel coin de la peinture, on n’a pas le recul nécessaire pour voir l’image globale… »
La Team Schroeder propose donc d’élargir le champ et d’additionner les vues des experts-métiers concernés, afin de proposer aux décideurs une vision pour un développement cohérent qui intègre, avec des priorités dans la programmation et de la coordination sur le long terme, les besoins d’actualités et les défis à venir.
« Le cadre de vie communal peut alors se penser et se construire, avec les autorités, en intégrant toutes les fonctions à offrir aux concitoyens, dans leur mixité et dans leur complémentarité : transports et mobilité, urbanisme à taille humaine, lieux d’habitat et de vie sains, infrastructures scolaires, équipements de loisirs, espaces de convivialité et de partage entre les usagers, aspects économiques et sociaux, … »
Se poser les bonnes questions…
David Henschen, architecte en chef Schroeder & Associés, explique :
« Dans les projets de construction, se reflète l’évolution permanente et croissante de notre quotidien, transformant leur conception et planification en une équation complexe à multiples composantes. Chaque projet a ses critères intrinsèques et externes ainsi que des exigences spécifiques.
Prenons l’exemple d’un complexe scolaire : sa fonction est d’accueillir des élèves et de s’intégrer harmonieusement dans un site, c’est évident. Mais aujourd’hui il devra également être économique, viable sur le long terme, être composé de matériaux sains et biosourcés, garant du bien-être des enfants et des personnes qui y travaillent, intégré dans un tissu qui permet le transport sécurisé et durable de ses usagers, adossé à d’autres infrastructures, sportives ou de loisirs par exemple…
Ce sont de vrais critères d’actualité. Et on a donc besoin de projets qui sont liés entre eux, qui relèvent de la construction, mais aussi, plus largement, de l’aménagement du territoire, de la réflexion générale sur ce que l’on veut défendre comme projet de société, de façon très concrète, au travers de réalisations qui ont du sens et de la cohérence dans leur développement.
Si on se lance tête baissée pour répondre au besoin du jour, avec une planification du projet dans une forme d’urgence, on risque d’écrire le premier chapitre sans penser aux chapitres futurs qui feront l’ensemble ; on risque d’investir des sommes importantes sans garantie d’aboutissement…
Nous pouvons inviter à poser les questions pertinentes.
Est-ce qu’une construction est réellement économique, durable et saine si elle répond aux besoins du jour et qu’elle doit être démolie et remplacée par une nouvelle construction similaire tous les 20 ans, voire moins ?
Est-ce que les besoins seront les mêmes demain ?
Est-ce que le bâtiment est implanté au bon endroit ou y a-t-il un site plus approprié, mieux inscrit dans le développement urbanistique et démographique de la localité ?
Quel est le concept de mobilité ?
Quelles sont les autres infrastructures à proximité, présentes ou à penser ?
On dit qu’il y a plus d’idées dans deux têtes que dans une, alors une solide équipe pluridisciplinaire donne du sens et des directions précises à la réflexion. Nous avons différents experts sous un même toit (ingénieurs, urbanistes, architectes, paysagistes, experts en mobilité,…) qui analysent les multiples critères et besoins du projet permettant de créer un scénario qui cible au mieux les besoins spécifiques du projet tout en incluant le vecteur temps ».
… et apporter de bonnes réponses, jusqu’à la mise en œuvre et à la gestion
Cette approche (de concept, d’études préalables, orientées sur le pragmatisme des besoins anticipés et réalisables) permet aux acteurs publics et aux citoyens de mieux comprendre les multiples facettes d’un projet, de se l’approprier à la base de son développement, afin d’éclairer et d’accompagner une prise de décision murement réfléchie et conciliable avec le développement futur du quartier, du village, de la ville, de la commune... « Tout cela demande un travail et un investissement en amont qui permettront d’anticiper, d’être plus économique, résilients, efficients, notamment de moins gaspiller nos ressources et les terrains disponibles ».
Pour Daniel Baum, urbaniste/aménageur senior chez Schroeder & Associés, la participation citoyenne, la coopération plutôt que le cloisonnement, les synergies et les aides publiques, ce sont des moyens que l’on peut combiner et partager.
« Au-delà d’une boîte à idées, nous proposons une boîte à outils, d’analyse, de conception, d’accompagnement, de facilitation. Les différentes planifications sectorielles ne peuvent pas être traitées de manière isolée. Avec cette approche intégrée, placée en amont ou accompagnée simultanément par des métiers spécialisés, et tout en prenant en compte des programmes d’incitation et de planification comme les pactes logement, climat et nature, on peut avoir une vision globale et une garantie de bonne fin;
la coordination permet d'aller de la réflexion à la mise en œuvre, pour une gestion de projet à long terme, bien au-delà du cycle de vie d’une construction ».
« Avec notre expérience accumulée et nos expertises-métiers, nous pouvons mettre du liant pérenne dans les projets de développement communal, en apportant une réflexion globale, une faculté d’analyse de l’existant, une capacité d’innovation dans l’apport de solutions pragmatiques, une mesure objective des opportunités et des risques, un management de projets pour rendre les choses concrètes et satisfaisantes », prolonge Anni Berg.
« Notre responsabilité est de faire pousser les idées et de propulser des solutions, de poser les bonnes questions pour suggérer les meilleures réponses. Il faut aussi que les réalisations soient viables, à la hauteur des investissements consentis, autant sur la durée que sur l’efficacité ».
Selon David Henschen, « on peut partir de l’existant, conserver, transformer et revaloriser ce qui peut l’être, on peut assainir, restaurer, donner une nouvelle vie à des sites entiers en élaborant des concepts intégrés et durables, pour les générations de demain et les suivantes… Tout cela est possible, c’est parfaitement réaliste, mais cela doit être planifié, pensé, étudié, coordonné, priorisé et phasé ».
Anni Berg conclut : « Notre bureau a les compétences, les équipes et les outils pour aider les pouvoirs publics à implémenter cette approche intégrée du développement ; nous avons les ambitions, la stratégie d’impulsion et d’accompagnement ; nous avons de l’expérience et les pieds sur terre ; nous sommes dans le concret, avec des solutions réfléchies, mises à l’épreuve et en place pour longtemps. »